Blog, Étude de cas: 13.05.25Externalisation comptable & gestion de fortune : une stratégie gagnante en Suisse

L’externalisation comptable s’impose aujourd’hui comme une démarche stratégique pour les sociétés financières basées en Suisse. Face à une pression réglementaire croissante, à des exigences accrues en matière de conformité et à une demande client de plus en plus sophistiquée, les structures régulées repensent leur organisation interne. La comptabilité, longtemps gérée en interne, devient un point de friction. Manque de temps, outils non intégrés, surcharge administrative… les limites du modèle classique apparaissent clairement.

Confier la gestion comptable à un partenaire spécialisé permet de retrouver de la clarté, de l’agilité et de la rigueur. Loin d’un désengagement, cette démarche marque au contraire un renforcement du pilotage et une montée en qualité. C’est précisément l’approche que nous proposons chez Synergix, à Genève, à travers une offre d’externalisation comptable gestion de fortune et d’actifs pensée pour les structures réglementées.

En Suisse, la gestion de fortune et d’actifs rime avec prestige, exigence et confiance. Mais derrière cette réputation solide se cache une réalité quotidienne de plus en plus complexe. Depuis l’entrée en vigueur de la LSFin (Loi sur les services financiers) et de la LEFin (Loi sur les établissements financiers), les sociétés de gestion doivent concilier performance opérationnelle, rigueur réglementaire et fluidité organisationnelle.

Les obligations se sont multipliées : démontrer à tout moment l’existence de processus de contrôle interne, tenir une documentation exhaustive et accessible, appliquer des standards de diligence accrus à chaque relation client, et répondre sans délai aux audits des OAR ou de la FINMA. À cela s’ajoutent des attentes clients qui évoluent rapidement : exigence de transparence, accès digital permanent aux données patrimoniales, réactivité quasi immédiate.

Dans ce contexte, une gestion comptable internalisée, souvent éclatée entre plusieurs outils, devient non seulement chronophage, mais également peu évolutive. Elle tend à ralentir l’activité au lieu de la soutenir.

Au fil de nos échanges avec des structures suisses actives dans la gestion de fortune et d’actifs, un constat s’est imposé : la comptabilité interne, bien que rigoureuse, absorbait un volume important de temps et générait une tension croissante. Non pas parce qu’elle était mal exécutée, mais parce qu’elle reposait sur une logique artisanale : outils non intégrés, saisies manuelles répétitives, documents dispersés, dépendance à des collaborateurs-clés, relances internes fréquentes.

Les associés nous ont confié consacrer plusieurs heures par semaine à valider des données comptables, relire des tableaux ou reconstituer des documents manquants. De leur côté, les responsables compliance peinaient à disposer d’indicateurs fiables en temps réel. Et lorsqu’un audit se profilait, toute l’équipe basculait en mode urgence. Au fond, c’est la fluidité de la prise de décision qui était affectée : pilotage budgétaire à posteriori, faible visibilité sur les marges, difficulté à structurer les frais par type de mandat ou par client.

Face à cette situation, nous avons déployé une solution complète d’externalisation comptable, spécialement pensée pour les métiers régulés. Tout a commencé par une cartographie fine des flux existants. Qui génère quelles données ? Par quel canal circulent-elles ? Qui les valide ? Avec quels outils ? À quelles échéances ?

Nous avons ensuite organisé une transition fluide vers notre plateforme collaborative IODD. Ce déploiement a permis de centraliser les flux comptables, de digitaliser la réception des factures, de faciliter la saisie grâce à des outils connectés à IODD, de fiabiliser les rapprochements bancaires, d’intégrer la gestion salariale et d’assurer une traçabilité complète des opérations, conforme aux standards exigés par la FINMA et les OAR.

Chaque acteur concerné — qu’il s’agisse d’un associé, d’un gestionnaire administratif ou d’un réviseur externe — a désormais accès à une interface sécurisée, où les données sont organisées, à jour, consultables en quelques clics. En parallèle, nous avons mis en place un accompagnement humain de proximité : une équipe d’experts basée à Genève, disponible, formée aux exigences du secteur, et en lien régulier avec les différents tiers impliqués (auditeurs, fiscalistes, partenaires technologiques).

Les résultats ont été visibles très rapidement. Le temps consacré à la gestion comptable a nettement diminué. Les erreurs ou incohérences liées à des manipulations manuelles ont quasiment disparu. Les clôtures mensuelles sont devenues plus fluides. Et les équipes n’ont plus à « courir après les pièces » pour finaliser leurs documents.
Au-delà du gain d’efficacité, c’est la qualité de pilotage qui s’est renforcée. L’accès à des données fiables et actualisées a permis une meilleure lecture des frais fixes, une analyse plus fine des marges et un meilleur suivi des engagements par client ou par ligne de mandat. Les audits se déroulent désormais dans un climat serein, avec des dossiers complets, classés, prêts à être consultés.
Mais le changement le plus souvent souligné reste la sérénité retrouvée. La comptabilité n’est plus un facteur de tension, mais un processus fluide, maîtrisé, qui soutient la stratégie.

Chaque société de gestion a sa culture, ses outils, ses points de vigilance. Mais des problématiques récurrentes traversent le secteur : surcharge administrative, contraintes réglementaires, complexité des flux, besoin de réactivité. Dans ce contexte, externaliser ne signifie pas renoncer à la maîtrise — bien au contraire. C’est une décision de maturité.

Externaliser, c’est permettre à vos équipes de se recentrer sur ce qui fait réellement votre valeur ajoutée : le conseil stratégique, l’accompagnement personnalisé et la gestion proactive des risques. C’est aussi reconnaître que certaines tâches peuvent être prises en charge, avec rigueur et efficacité, par des experts dont c’est le métier. Et c’est enfin choisir une comptabilité vivante, intégrée à votre quotidien, au service de vos décisions — et non un processus déconnecté, repoussé en bout de chaîne.

Chez Synergix, nous considérons que la digitalisation doit renforcer la relation humaine, pas la diluer. Et que le rôle de la comptabilité est d’éclairer vos décisions, pas de les freiner.

Nous pensons que cette approche fonctionne parce qu’elle est construite sur une triple exigence : technologique, réglementaire et relationnelle. Elle repose sur une compréhension fine des contraintes propres aux sociétés régulées. Et elle s’adapte à votre organisation sans l’imposer.

Notre plateforme IODD a été conçue pour vous rendre la main, pas pour vous la prendre. Elle vous permet de suivre vos flux en temps réel, d’automatiser ce qui peut l’être, de visualiser vos données clés au bon moment. Et au-delà de l’outil, ce sont les liens que nous tissons avec vos équipes qui font la différence. Car à nos yeux, chaque société cliente est avant tout un partenaire avec ses enjeux propres, sa dynamique, son tempo.

Si certains éléments de cette étude de cas font écho à votre quotidien, c’est sans doute que vous faites face à des enjeux similaires. Vous êtes exigeant, structuré, mais vous sentez que certaines fonctions clés de votre organisation — notamment la comptabilité — pourraient être optimisées, sécurisées, et alignées avec votre rythme de travail.

Chez Synergix, nous sommes convaincus qu’une externalisation bien pensée est un levier stratégique. Elle ne signifie pas perdre le contrôle. Elle permet, au contraire, de regagner en clarté, en agilité et en confort.

Basés à Genève, au cœur de votre écosystème, nous accompagnons des sociétés de gestion régulées dans l’optimisation de leur back-office administratif et comptable. Notre approche est pragmatique, sobre, humaine, et toujours orientée résultats.

Nous vous proposons un échange confidentiel, sans engagement, pour évaluer vos flux, vos outils, vos enjeux, et identifier ensemble des pistes d’amélioration concrètes.

👉 Prenez contact avec notre équipe — une première discussion peut faire toute la différence.